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Requête provenant du RDAQ : Document 1 / 1
F00,S02,SS02,SSS17,D30
Photographie des propriétés patrimoniales du 888, rang de la rivière Est.
= Maison centenaire. Lot actuel 4 390 939, référence lot P-272. / Photo de Google Earth. Photos de Marc Drouin.. - 2009/09 - 2016/06. - 3 photographies : Photo couleur numérisée. - 6 documents textuels : Texte numérisé.

Histoire administrative :
Description de Luc Lewis et Catherine Bergeron.

Portée et contenu :
1- Description: Maison unifamiliale, style cottage, en clins de vinyle, avec un garage adjacent. Les toits sont en bardeaux d'asphalte noirs. La résidence possède deux lucarnes en pignon avec saillie du toit, dont les fenêtres sont à carreaux. Sur le toit, il y a un objet non identifié. Sur la façade, s'avance une véranda avec un toit recouvert de tôle noire porté par des colonnes. Le plancher de la galerie est à quelques trois pieds du sol, d'où un escalier de quelques marches. La porte principale est blanche et a une grande vitre. Des vignes ou des lianes grimpent autour de colonnes et de la bordure du toit cachant une partie de la demeure. La remise en clins de vinyle a une grande porte et une porte ordinaire. Une grande épinette se dresse devant cette propriété. Par ailleurs, cèdres, autres arbustes et fleurs ornent abondamment le terrain. Derrière le garage, des arbres cachent l'horizon.
En 2011, la propriété est au nom de Jean Fleurant et de Caroline Hébert.
En 2012, la propriété est au nom de Miryam Pinsonneault et de Pascal Côté.


2- Historique: Miryam Pinsonneault est la propriétaire depuis 2012.
Le premier propriétaire connu de cette demeure serait Jonh McGee vers 1882.
Cette demeure aurait appartenu aussi à Daniel Murray, vers 1915..

3- Photos par Marc Drouin, en 2016.


4- Bureau d'enregistrement d'Iberville, Index des Immeubles.
Pages 1 à 3.


Si on décode bien le Registre foncier du Québec, on a les données suivantes concernant cette propriété. En 1882, elle est la propriété de John McGee, qui la donne à James McGee, Ce dernier la vend à Daniel Murray en 1915. La succession Murray la vend à Omer Charbonneau en 1918, pour la vendre à Henri Charbonneau la même année. En 1963, Dame Henri Charbonneau la vend à Jean-Maurice Viens qui la vend à Paul-André Dion, Le lot P_272 semble divisé et Paul André Dion en vend une partie à Robert Tétreault et Gisèle Fournier. Cette partie passe ensuite entre les mains de M. Paquette en 1976, Richard Fontaine en 1983 et Normand Pinsonneault en 1986.
Jean-Fleurant possède la maison, car c'est lui qui la vend aux propriétaires actuels, Myriam Pinsonneault et Pascal Côté.

Paul-André Dion vend la ferme à Jean-Maurice Viens, qui la cède à Raymond Viens en 1986, Gilles Giroux l'acquiert en 1991, qui la vend à Michel Giroux. Finalement Roger Daigneault en prend possession.

Par ailleurs François Dion acquiert un terrain de Paul-André Dion.

ll est pausible qu'il manque quelques propriétaires de la ferme et de la maison dans cette généalogie du lot.

5- Cette résidence peut se vanter d'avoir été la demeure de Daniel Murray, connseiller municipal de 1911 à 1915, et Jean-Maurice Viens qui a fait deux mandats comme marguiliers en 1956 et 1979.

6- En 2016, maison patrimoniale.

Maison centenaire sise sur le lot actuel 4 390 939, référence lot P-272 (ancien lot).
Le plus ancien propriétaire connu de cette demeure serait John Mc Gee vers 1882 qui l'aurait eue par don de John McGee..

Une ancienne maison de ferme qui est séparée de la ferme et qui appartient maintenant à Myriam Pinsonneault et Pascal Côté, qui l'achètent de Jean Fleurant. La ferme est maintenant propriété de Roger Daigneault.

Cette coquette demeure cache bien son âge, mais elle conserve dans son sein les marques de son ancienneté : de plain-pied, avec un sous-sol non aménagé, son solage en pierres et en mortier, sa structure, ses recouvrements successifs, d'abord en bardeaux, puis en clins de bois, maintenant célé par un clin de vinyle. On voit un double prolongement : la première partie serait probablement une cuisine d'été, la seconde un garage de date plus récente. Si ses cheminées de briques ont disparu, elles ont laissé dans la structure des cicatrices de leur existence.

Exemple d'une ancestrale maison de ferme qui sait s'adapter aux exigences de la modernité sans trahir ses origines, cette demeure se classe parmi les " maisons patrimoniales " de Sainte-Brigide.

Notes :

Source du titre composé propre :
Titre propre d'après l'adresse postale.

État de conservation :
Bon état.

Restauration/conservation :
Numérisées.

Source immédiate d'acquisition :
Google Earth et Marc Drouin.

Langue des documents :
Français

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