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Requête provenant du RDAQ : Document 1 / 1
F00,S02,SS02,SSS17,D27
Photographie des propriétés patrimoniale du 832, rang de la Rivière Est.
= Maison centenaire. Lot actuel 4 390 932, référence lot P-274. / Photo de Google Earth. Photos récentes de Marc Drouin.. - 2009/09 - 2016/06. - 3 photographies : Photo couleur numérisée. - 3 documents textuels : Texte numérisé.

Histoire administrative :
Description de Luc Lewis et Catherine Bergeron.

Portée et contenu :
1- Description: Maison unifamiliale, style cottage, en clins d'aluminium (?) blancs, avec garage adjacent. La toiture en bardeaux d'asphalte rouges est percé de deux cheminées: l'une usinée, l'autre en briques rouges. Une échelle repose sur le toit à droite. Une véranda à deux pieds du sol avec toit porté par des colonnes rouges protège l'entrée. De chaque côté de la porte qui a une vitre à carreaux, on voit une fenêtre avec volets rouges. Sur le mur latéral droit, on voit à l'étage deux fenêtres et au rez-de-chaussée, une autre fenêtre. Le garage, moins élevé que la résidence a un toit en tôle. Outre une grande porte, il y a aussi une porte ordinaire. Plusieurs arbustes poussent devant la maison, même dans la pelouse; une petite clôture court le long de l'entrée des véhicules qui est en terre et en pierres. À droite du garage se trouve une piscine hors terre. Un arbre adulte se dresse à droite de l'entrée.
En 2011, la propriété est au nom de Stéphane Viens et Diane Bessette.


2- Historique: Propriétaires Stéphane Viens et Diane Bessette depuis 2011.
Le premier propriétaire connu de cette demeure serait Richard Pearson vers 188o qui la vend à Jacques Desnoyers, vers 1883. Ce dernier aurait vendu sa ferme à William Pearson, qui la cède à Cléophas Choquette, en 1905. Isidore Harbec se fait acquéreur de cette ferme en 1919. En 1922, Hormisdas Landry en devient propriétaire par don. C'est en 1927, Noël Landry a cette propriété, qui passe entre les mains d'Édouard (Eddy) Landy en 1955. En 1975, Richard et Robert Hamilton l'achètent la propriété des Landry et la vend en 1994 à Ernest Jacob Bernhard. Son fils Ernest l'hérite par la suite. La maison est probablement séparée de la ferme. Les propriétaires actuels, Stéphane Viens et Diane Bessette l'acquiert de Napoléon Halmilton.

Mentionnons que Jacques Desnoyers aurait été conseiller municipal de 1866 à 1870 et marguillier en 1902.

3- Photos prises par Marc Drouin, en 2016.


4- Bureau d'enregistrement d'Iberville, Index des Immeubles.
Pages 1 à 3.


5- Autres informations: Les propriétaires Stéphane Viens et sa conjointe Diane Bessette acceptent, en date du 21 juillet 2016, que leur maison fasse partie des activités patrimoniales prévues. Catherine Bergeron a appris, lors d'un entretien téléphonique avec Mme Bessette, que la maison serait bâtie vers 1820, ce qui fait d'elle une des plus anciennes maisons de Sainte-Brigide. De plus, avant qu'ils achètent la maison, le propriétaire de la maison serait M. Hamilton, et avant lui, un dénommé M. Landry. La propriétaire a aussi mentionné qu'une image en noir et blanc de sa maison se retrouverait dans un livre de la municipalité, sous l'intitulé de la famille Landry.

6- Maison patrimonale en 2016.
Maison centenaire sise sur le lot actuel 4 390 932. Référence lot P-274 (ancien lot).
La date de construction de cette propriété remonte aux environs de 1888 peut-être avant, Richard Pearson l'aurait vendue à Jacques Desnoyers. Ce dernier aurait vendu sa ferme à William Pearson en 1900, qui la cède à Cléophas Choquette, en 1905. Isidore Harbec se fait acquéreur de cette ferme en 1919. En 1922, Hormias Landry en devient propriétaire, et il la donne, en 1927, à Édouard (Eddy) Landry. En 1975, Napoléon Hamilton l'achète la maison des Landry et la vend à Stéphane Viens et Diane Bessette. La ferme est vendu à Jacob Bernhard. C'est maintentant la Ferme des Bernhard.

Cette maison rurale affiche sa vielle cheminée de briques rouges. Elle est construite pièces sur pièces avec un " embouffetage " de crin de cheval. Son toit en pignon à deux versants droits est conforme aux maisons ancestrales. Son sous-sol est creusée pour permette d'y circuler debout, mais est demeuré un endroit de rangement. Son solage est de pierres et de béton.

Pas de doute d'elle mérite, cette demeure, de cotoyer les " maisons patrimoniales " de Sainte-Brigide.

Notes :

Source du titre composé propre :
Titre propre d'après l'adresse postale.

État de conservation :
Bon état.

Restauration/conservation :
Numérisées.

Source immédiate d'acquisition :
Google Earth et Marc Drouin.

Langue des documents :
Français.

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